Page 32 - CCGA Pratiques dexcellence Version 3
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• Base de données – Le centre d’appel secondaire reçoit régulièrement
la base de données du centre principal, y compris les demandes de
localisation, de préférence en temps réel.
• Personnel – Le personnel du centre a reçu la formation nécessaire sur les
procédures du plan de contingence.
• Simulation en cas d’urgence – Au moins une fois par année, de façon
aléatoire, l’efficacité du plan de contingence est vérifiée.
2-19 Interface d’utilisateur à distance
Énoncé de pratique : Le centre de traitement des demandes fournit aux
utilisateurs un moyen de saisie directe et électronique des demandes de
localisation, d’une qualité comparable à celle obtenue lorsqu’un membre du
personnel du centre contribue à la saisie des renseignements.
Description de la pratique : Le centre de traitement des demandes
dispose d’outils de communication interactive de données qui permettent aux
propriétaires d’infrastructures souterraines membres et aux excavateurs de
saisir des données à distance. L’interface à distance rend valide l’information
de saisie et permet à l’utilisateur d’apporter des corrections, au besoin. Cette
correction est accomplie en faisant référence à la même base de données
géographique utilisée au centre de traitement des demandes lorsqu’une
demande vocale est acceptée. Ce processus permet de garantir que le même
niveau de qualité pour tous les dossiers.
2-20 Points de repère multiples pour
les demandes de localisation
Énoncé de pratique : Le centre de traitement des demandes est en
mesure d’accepter différents types de points de repère afin de circonscrire
l’emplacement exact d’un site d’excavation (c.-à-d., latitude-longitude,
autoroute, chemin de fer, balises de pipelines, adresse, rue et rue
transversale, etc.).
Description de la pratique : Le processus de réception des demandes
de localisation et le système informatique du centre sont conçus de façon à
accepter et traiter une grande diversité de points de repère afin de (1) décrire
l’emplacement des travaux et (2) définir le site d’excavation. Exemples : bornes
kilométriques, bornes de chemin de fer ou de pipeline, une adresse valide ou
la rue transversale, la latitude et la longitude, la municipalité, l’agglomération,
la région, les limites territoriales (code postal), etc.
Tous les intervenants bénéficient d’une définition plus précise du site
d’excavation. L’utilisation de différents critères de recherche augmente la
flexibilité et aide à réduire le nombre des demandes de localisation qui sont
transmises inutilement aux membres. Cela permet aux membres de localiser
et de marquer plus facilement leurs infrastructures. Le centre investit dans
des systèmes et des processus qui permettent l’inclusion de divers types de
points de repère dans la définition du site d’excavation. Le centre prend des
moyens pour associer ces points de repère à la base de données utilisée,
afin d’enregistrer la zone d’avis désirée du propriétaire d’infrastructures
souterraines, ce qui aide à réduire les avis excédentaires.
Canadian Common Ground Alliance
Pratiques d’excellence, Version 3.0 – Octobre 2018
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